Bilderdijk, Geologie, of verhandeling over de vorming en vervorming der aarde
Présentation de l'œuvre
En 1813, Bilderdijk publie, sans nom d'auteur, un traité en prose sur l'histoire du globe, Geologie, of verhandeling over de vorming en vervorming der aarde1 (“Géologie, ou traité sur la formation et la déformation de la terre”), dans lequel il cite L'Homme des champs, malgré la présentation très sévère que sa traduction avait donnée, dix ans plus tôt, du poème de Delille.
Citation
Si Bilderdijk donne ici raison à Delille, c'est qu'il reprend les vers où ce dernier reproche à Buffon d'avoir peu observé par lui-même. Pour le poète et polémiste néerlandais, une telle attitude ne peut en effet déboucher sur aucun savoir ferme, l'examen direct et sans préjugé permettant seul, par opposition aux “systèmes”, l'accès à la vérité. Bilderdijk a donc soin de ne garder que les aspects critiques d'une séquence dominée par l'éloge du naturaliste.
Het was terwijl men met deze stelsels […] in het wild schermde, dat de eigenlijke en waarachtige grondslagen dezer studie begonnen gelegd te worden door verscheiden Natuurkundigen, van de vereischte voorasgaande kundigheden voorzien, die onbevooroordeeld, en […] niet om bewijzen voor aangenomen opvattingen, maar om waarheid te zoeken, niet om systemaas, maar om verschijnsels te vinden, niet, als Delille met het grootste recht van Buffon zegt, die
des jardins de Montbar
Par ses ambassadeurs courtisa la Nature,
door anderen, maar door zich-zelve naspoorden, en gebergten, wildernissen, stranden, en kusten bezochten, en alom waarnemingen deden, die het toen nog onbekend was waar zy t’eenigen dage heen konden leiden2.
Vers concernés : chant 3, vers 180 et 184.
Liens externes
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Auteur de la page — Hugues Marchal 2019/07/17 22:37