Waring, The traveller's fire-side
Présentation de l'œuvre
Le poète Samuel Miller Waring publie en 1819 cette “série d'articles sur la Suisse, les Alpes, etc.”, en motivant son titre – littéralement, “le coin du feu du voyageur” – dans une brève préface, qui explique qu'il composa ces textes durant l'hiver précédent, au retour d'un voyage estival en Suisse1. Chacune des 20 sections, numérotées, reprend le titre général, suivi d'une épigraphe en vers, et parfois d'un second titre précisant le contenu de la partie.
Le chant 3 de L'Homme des champs est convoqué à quatre reprises.
Citation 1
La première occurrence sert à introduire un développement sur les avalanches2.
Vers concernés : chant 3, vers 365-369.
Citation 2
La section suivante, consacrée aux variations saisonnières du paysage suisse, s'ouvre derechef par des vers de Delille3.
Vers concernés : chant 3, vers 339-350.
Citation 3
Waring emprunte une dernière épigraphe à Delille, quand il décrit les sites du Valais4.
Vers concernés : chant 3, vers 301-304.
Citation 4
Enfin, L'Homme des champs fait encore l'objet d'une allusion, cette fois dans un des articles, à propos des collections d'histoire naturelle bernoises.
One of the large dogs of St. Bernard is preserved in the collection: this noble creature saved, in its life-time, the lives of several persons, and has thus richly merited the simple apotheosis recommended by Delille*. There are also a number of Roman antiquities, and a model of the Bastille.
[…]
* L'Homme des Champs. Chant 35.
Vers concerné : chant 3, vers 631.