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“Traduction en vers latins […] par M. Dubois” (Mercure belge)

Ce compte rendu anonyme de la traduction latine du poème par Dubois (1808) paraît avec dix ans de décalage, sans doute parce que ce dernier, comme l'indique le titre complet de l'article, est alors professeur à Tournay1. Le Mercure belge tend en effet à mettre en valeur la littérature locale, après le rattachement de la Belgique à l'éphémère Royaume uni des Pays-Bas.

L'article, élogieux, reprend brièvement certains éléments de la préface de Dubois. Il cite ensuite quelques extraits du texte original et des vers latins, pour permettre au lecteur de juger du résultat, et le dernier exemple est formé par “la description des insectes qui doivent entrer dans le cabinet d'histoire littéraire2”. Ni cet extrait, ni sa transposition par Dubois ne sont commentés.

Vers concernés : chant 3, vers 539-553.


Auteur de la page — Hugues Marchal 2019/06/06 20:48


1 Anonyme, “Traduction en vers latins, des Géorgiques françaises de Delille, par M. Dubois, professeur de rhétorique à l'Athénée de Tournay”, Mercure belge, t. II, 1818, p. 300-306.
2 Id., p. 305.