Comme le titre de cet ouvrage de Louis-François Jéhan le laisse attendre, les Esquisses des harmonies de la création, ou les Sciences naturelles étudiées du point de vue philosophique et religieux et dans leur application à l'industrie et aux arts (1841), relèvent de la vulgarisation scientifique catholique.
Jéhan prend pour épigraphe de son chapitre sur les insectes le passage le plus nettement apologétique du chant 3 de L'Homme des champs1 :
Vers concernés : chant 3, vers 575-576.
Une dizaine d'année plus tard, dans un contexte similaire, le vulgarisateur réutilisera ce même distique dans son Dictionnaire de zoologie2.