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[…] ils perdirent bientôt le souvenir de leurs fatigues passées, à l'approche des Alpes, dont la vue les saisit de terreur. Partout les glaces, partout la grêle et son éternelle blancheur, partout les neiges séculaires(nbsp): engourdi par le froid, le front aérien de la haute montagne, témoin du lever de Phébus, ne peut dissoudre aux feux du soleil ses frimas endurcis[(Silius Italicus, //Les Puniques//, traduction nouvelle par M. E.-F. Corpet et M. N.-A. Dubois, Paris, Panckoucke, t.\ I, 1836, p.(nbsp)191 (pour l'attribution de cette section à Corpet, voir p.(nbsp)35).)]. | […] ils perdirent bientôt le souvenir de leurs fatigues passées, à l'approche des Alpes, dont la vue les saisit de terreur. Partout les glaces, partout la grêle et son éternelle blancheur, partout les neiges séculaires(nbsp): engourdi par le froid, le front aérien de la haute montagne, témoin du lever de Phébus, ne peut dissoudre aux feux du soleil ses frimas endurcis[(Silius Italicus, //Les Puniques//, traduction nouvelle par M. E.-F. Corpet et M. N.-A. Dubois, Paris, Panckoucke, t.(nbsp)I, 1836, p.(nbsp)191 (pour l'attribution de cette section à Corpet, voir p.(nbsp)35).)]. |