En 1811, dans ses //Mélanges de littérature, d'histoire, de morale et de philosophie//, le Suisse [[escherny|Escherny]] dédie deux chapitres sévères[(François-Louis d'Escherny, //Mélanges de littérature, d'histoire, de morale et de philosophie//, Paris, Bossange et Masson, 1811, t. II, ch.\ 3, "De la poésie des modernes, et de la versification moderne…" et 4, "Continuation de la critique des vers français…".)] à la **versification française, qu'il juge inepte** et responsable de son peu de goût pour la poésie "moderne" produite dans cette langue, dont il estime au contraire fort les prosateurs. | En 1811, dans ses //Mélanges de littérature, d'histoire, de morale et de philosophie//, le Suisse [[escherny|Escherny]] dédie deux chapitres sévères[(François-Louis d'Escherny, //Mélanges de littérature, d'histoire, de morale et de philosophie//, Paris, Bossange et Masson, 1811, t. II, ch.(nbsp)3, "De la poésie des modernes, et de la versification moderne…" et 4, "Continuation de la critique des vers français…".)] à la **versification française, qu'il juge inepte** et responsable de son peu de goût pour la poésie "moderne" produite dans cette langue, dont il estime au contraire fort les prosateurs. |