chant3

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chant3 [2017/02/13 00:29] Timothée Léchotchant3 [2023/03/13 19:18] (Version actuelle) – modification externe 127.0.0.1
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-<hidden **[frontispice]**>{{:chant3gravure.png?nolink&500|}} \\ \\ [[3-frontispice|[Mentions du frontispice]]]</hidden> +<hidden **[frontispice]**>{{:chant3gravure.png?nolink&500|}} \\ \\ [[3-frontispice|[Mentions du frontispice]]]</hidden> 
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-L'HOMME DES CHAMPS.\\ +===== L'HOMME DES CHAMPS. ===== 
-TROISIÈME CHANT. +===== TROISIÈME CHANT. =====
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 [[chant3mentions|[Mentions du troisième chant.]]] [[chant3mentions|[Mentions du troisième chant.]]]
  
-\\ <hidden **[vignette]**>{{:chant3vignette1.png?nolink&500|}} \\ \\ [[3-vignette1|[Mentions de la vignette]]]</hidden>+\\ <hidden **[vignette]**>{{:chant3vignette1.png?nolink&500|}} \\ \\ [[3-vignette1|[Mentions de la vignette]]]</hidden>
 ===== ARGUMENT. ===== ===== ARGUMENT. =====
 <BOOKMARK:A>[[3-A|A]]<tab>LE NATURALISTE ; l'art de voir la campagne et les phénomènes de la nature avec des yeux observateurs.\\ <BOOKMARK:A>[[3-A|A]]<tab>LE NATURALISTE ; l'art de voir la campagne et les phénomènes de la nature avec des yeux observateurs.\\
 <BOOKMARK:B>[[3-A|B]]<tab>1° L’importance de l’étude de la nature. 2° La grandeur de la nature, soit dans les révolutions du globe, soit dans l’action continue qu’elle exerce. Divers phénomènes ; récit de la destruction de Pleurs (sujet de la gravure de ce chant). Désastre d’Herculanum ; Buffon ; volcans de l’Auvergne ; le grain de sable ; la mer ; les eaux thermales, leur utilité, leurs plaisirs (sujet de la première vignette). 3° Charme attaché à la contemplation de diverses scènes de la nature et à la recherche de leurs causes. Montagnes, avalanches, beaux sites ; excursions botaniques ; Bernard Jussieu ; l’étude des animaux. 4° Ce charme se perpétue et s’augmente par la formation et la jouissance de cabinets d’histoire naturelle. Description des principales divisions d’un cabinet. Souvenir à Raton, chatte de l’auteur (sujet de la seconde vignette). <BOOKMARK:B>[[3-A|B]]<tab>1° L’importance de l’étude de la nature. 2° La grandeur de la nature, soit dans les révolutions du globe, soit dans l’action continue qu’elle exerce. Divers phénomènes ; récit de la destruction de Pleurs (sujet de la gravure de ce chant). Désastre d’Herculanum ; Buffon ; volcans de l’Auvergne ; le grain de sable ; la mer ; les eaux thermales, leur utilité, leurs plaisirs (sujet de la première vignette). 3° Charme attaché à la contemplation de diverses scènes de la nature et à la recherche de leurs causes. Montagnes, avalanches, beaux sites ; excursions botaniques ; Bernard Jussieu ; l’étude des animaux. 4° Ce charme se perpétue et s’augmente par la formation et la jouissance de cabinets d’histoire naturelle. Description des principales divisions d’un cabinet. Souvenir à Raton, chatte de l’auteur (sujet de la seconde vignette).
  
-\\ <hidden **[vignette]**>{{:chant3vignette2.png?nolink&500|}} \\ \\ [[3-vignette1|[Mentions de la vignette]]]</hidden>+\\ <hidden **[vignette]**>{{:chant3vignette2.png?nolink&500|}} \\ \\ [[3-vignette1|[Mentions de la vignette]]]</hidden>
 ===== TROISIEME CHANT. ===== ===== TROISIEME CHANT. =====
 <BOOKMARK:v001>[[3-001|001]]<tab> !!Que!! j'aime le mortel, noble dans ses penchants, <BOOKMARK:v001>[[3-001|001]]<tab> !!Que!! j'aime le mortel, noble dans ses penchants,
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 \\ <BOOKMARK:v558>[[3-558|558]]<tab> Vos aigrettes, vos fleurs, vos perles, vos rubis, \\ <BOOKMARK:v558>[[3-558|558]]<tab> Vos aigrettes, vos fleurs, vos perles, vos rubis,
 \\ <BOOKMARK:v559>[[3-559|559]]<tab> Et ces fourreaux brillants, et ces étuis fidèles, \\ <BOOKMARK:v559>[[3-559|559]]<tab> Et ces fourreaux brillants, et ces étuis fidèles,
-\\ <BOOKMARK:v560>[[3-560|560]]<tab> Dont l’écaille défend la gaze de vos ailes[(<tab>Venez avec l’éclat de vos riches habits, \\ \ \ \ \ \ \ \ \ \ Vos aigrettes, etc...... \\ \ \ \ \ \ \ \ \ \ Dont l’écaille défend la gaze de vos ailes. \\ \\ [[3-43-A|A]] La nature semble avoir voulu dédommager les insectes de leur foiblesse, en parant leur robe des plus vives couleurs : sur leurs ailes et leurs ornements de tête on voit briller l’azur, l’or, l’argent, le vert, le rouge, le jaune, etc. ; les franges, les aigrettes, les houpes sont prodiguées, et les reflets de ces couleurs différentes sont au moins aussi vifs que ceux des pierres précieuses. Il ne faut qu’examiner une mouche luisante, un papillon, une chenille même, pour être étonné de leur magnificence et de la variété de leur livrée. Est-il dans la nature que la parure soit l’apanage de la foiblesse ? \\ \\ )] ;+\\ <BOOKMARK:v560>[[3-560|560]]<tab> Dont l’écaille défend la gaze de vos ailes[(<tab>Venez avec l’éclat de vos riches habits, \\ <tab><tab>Vos aigrettes, etc...... \\ <tab><tab>Dont l’écaille défend la gaze de vos ailes. \\ \\ [[3-43-A|A]] La nature semble avoir voulu dédommager les insectes de leur foiblesse, en parant leur robe des plus vives couleurs : sur leurs ailes et leurs ornements de tête on voit briller l’azur, l’or, l’argent, le vert, le rouge, le jaune, etc. ; les franges, les aigrettes, les houpes sont prodiguées, et les reflets de ces couleurs différentes sont au moins aussi vifs que ceux des pierres précieuses. Il ne faut qu’examiner une mouche luisante, un papillon, une chenille même, pour être étonné de leur magnificence et de la variété de leur livrée. Est-il dans la nature que la parure soit l’apanage de la foiblesse ? \\ \\ )] ;
 \\ <BOOKMARK:v561>[[3-561|561]]<tab> Ces prismes, ces miroirs, savamment travaillés, \\ <BOOKMARK:v561>[[3-561|561]]<tab> Ces prismes, ces miroirs, savamment travaillés,
 \\ <BOOKMARK:v562>[[3-562|562]]<tab> Ces yeux qu’avec tant d’art la nature a taillés[(<tab>Ces yeux qu’avec tant d’art la nature a taillés. \\ \\ [[3-44-A|A]] De toutes les parties des insectes, les yeux à réseau sont peut-être les plus propres à nous faire connoître avec quel prodigieux appareil la nature les a formés, et à nous apprendre en général combien elle produit de merveilles qui nous échappent. Les plus grands observateurs microscopiques n’ont pas manqué d’étudier la structure singulière de ces yeux. Ceux des mouches, des scarabées, des papillons et de divers autres insectes, ne différents en rien d’essentiel. Ces yeux sont tous à peu près des portions de sphère : leur enveloppe extérieure peut être regardée comme la cornée. On appelle cornée l’enveloppe extérieure de tout œil, celle à laquelle le doigt toucheroit si, les paupières restant ouvertes, on vouloit toucher un œil. Celle des insectes dont nous parlons a une sorte de luisant qui fait voir souvent des couleurs aussi variées que celles de l’arc-en-ciel. Elle paroît, à la vue simple, unie comme une glace ; mais lorsqu’on la regarde à la loupe, elle paroît taillée à facettes comme des diamants : ces facettes sont disposées avec une régularité admirable et dans un nombre prodigieux. Leuwenhoeck a calculé qu’il y en avoit trois mille cent quatre-vingt-une sur une seule cornée d’un scarabée, et qu’il y en avoit huit mille sur chacune des cornées d’une mouche ordinaire. Hook  en a trouvé quatorze mille dans les deux yeux d’un bourdon, et Leuwenhoeck en a compté six mille deux cent-vingt-six dans les deux yeux d’un ver à soie ailé. Ce qu’il y a de plus merveilleux, c’est que toutes ces facettes sont vraisemblablement autant d’yeux ; de sorte qu’au lieu de deux yeux ou cristallins que quelques naturalistes ont peine à accorder aux papillons, nous devons leur en reconnoître sur les deux cornées trente-quatre mille six cent cinquante ; aux mouches, seize mille, et aux autre plus ou moins, mais toujours dans un nombre aussi surprenant. \\ [[3-44-B|B]] Voici deux expériences de savants observateurs, qui prouvent incontestablement que chaque facette est un cristallin, et que chaque cristallin est accompagné de ce qui forme un œil complet : ils ont détaché les cornées de divers insectes ; ils en ont tiré avec adresse toute la matière qui y étoit renfermée, et après avoir bien nettoyé toute la surface intérieure, ils les ont mises à la place d’une lentille de microscope. Cette cornée, ainsi ajustée, et pointée vis-à-vis d’une bougie, produisoit une des plus riches illuminations. M. Puget avoit imaginé de tenir au foyer d’un microscope l’œil d’un papillon ainsi préparé : un soldat vu à ce microscope d’un genre particulier auroit paru une armée de dix sept mille trois cent vingt-cinq soldats ; un pont auroit paru l’assemblage d’un nombre infini d’arches. Leuwenhoeck a poussé la dissection jusqu’à découvrir que chaque cristallin a son nerf optique. Comment, dira-t-on, un insecte, avec des milliers d’yeux, peut-il voir l’objet simple ? Lorsque nous saurons au juste comment nous-mêmes, avec deux yeux, nous voyons les objets simples, il nous sera aisé de concevoir que les objets peuvent paroître simples à des insectes avec des milliers d’yeux. La nature, qui a voulu que leurs yeux ne fussent point mobiles, y a suppléé par le nombre et par la position. Malgré ces milliers d’yeux dont sont composées les orbites, la plupart des mouches ont encore trois autres yeux placés en triangle sur la tête, entre le crâne et le cou : ces trois yeux, qui sont aussi des cristallins, ne sont point à facettes ; ils sont lisses et paroissent comme des points. Ces différentes grosseurs des yeux dans le même insecte, jointes à la considération des différentes places accordées à chaque œil, conduisent à présumer avec quelque vraisemblance que la nature a favorisé les insectes d’yeux propres à voir les objets qui sont près d’eux, et d’autres pour voir les objets éloignés ; qu’elle les a pour ainsi dire pourvus de microscopes et de télescopes. Il faut observer que la plupart de ces yeux à facettes sont couverts de poil, que l’on peut soupçonner de produire l’effet des cils de nos yeux, c’est-à-dire de détourner une trop grande quantité de rayons de lumière qui ne serviroient qu’à embarrasser la vue. \\ \\ )], \\ <BOOKMARK:v562>[[3-562|562]]<tab> Ces yeux qu’avec tant d’art la nature a taillés[(<tab>Ces yeux qu’avec tant d’art la nature a taillés. \\ \\ [[3-44-A|A]] De toutes les parties des insectes, les yeux à réseau sont peut-être les plus propres à nous faire connoître avec quel prodigieux appareil la nature les a formés, et à nous apprendre en général combien elle produit de merveilles qui nous échappent. Les plus grands observateurs microscopiques n’ont pas manqué d’étudier la structure singulière de ces yeux. Ceux des mouches, des scarabées, des papillons et de divers autres insectes, ne différents en rien d’essentiel. Ces yeux sont tous à peu près des portions de sphère : leur enveloppe extérieure peut être regardée comme la cornée. On appelle cornée l’enveloppe extérieure de tout œil, celle à laquelle le doigt toucheroit si, les paupières restant ouvertes, on vouloit toucher un œil. Celle des insectes dont nous parlons a une sorte de luisant qui fait voir souvent des couleurs aussi variées que celles de l’arc-en-ciel. Elle paroît, à la vue simple, unie comme une glace ; mais lorsqu’on la regarde à la loupe, elle paroît taillée à facettes comme des diamants : ces facettes sont disposées avec une régularité admirable et dans un nombre prodigieux. Leuwenhoeck a calculé qu’il y en avoit trois mille cent quatre-vingt-une sur une seule cornée d’un scarabée, et qu’il y en avoit huit mille sur chacune des cornées d’une mouche ordinaire. Hook  en a trouvé quatorze mille dans les deux yeux d’un bourdon, et Leuwenhoeck en a compté six mille deux cent-vingt-six dans les deux yeux d’un ver à soie ailé. Ce qu’il y a de plus merveilleux, c’est que toutes ces facettes sont vraisemblablement autant d’yeux ; de sorte qu’au lieu de deux yeux ou cristallins que quelques naturalistes ont peine à accorder aux papillons, nous devons leur en reconnoître sur les deux cornées trente-quatre mille six cent cinquante ; aux mouches, seize mille, et aux autre plus ou moins, mais toujours dans un nombre aussi surprenant. \\ [[3-44-B|B]] Voici deux expériences de savants observateurs, qui prouvent incontestablement que chaque facette est un cristallin, et que chaque cristallin est accompagné de ce qui forme un œil complet : ils ont détaché les cornées de divers insectes ; ils en ont tiré avec adresse toute la matière qui y étoit renfermée, et après avoir bien nettoyé toute la surface intérieure, ils les ont mises à la place d’une lentille de microscope. Cette cornée, ainsi ajustée, et pointée vis-à-vis d’une bougie, produisoit une des plus riches illuminations. M. Puget avoit imaginé de tenir au foyer d’un microscope l’œil d’un papillon ainsi préparé : un soldat vu à ce microscope d’un genre particulier auroit paru une armée de dix sept mille trois cent vingt-cinq soldats ; un pont auroit paru l’assemblage d’un nombre infini d’arches. Leuwenhoeck a poussé la dissection jusqu’à découvrir que chaque cristallin a son nerf optique. Comment, dira-t-on, un insecte, avec des milliers d’yeux, peut-il voir l’objet simple ? Lorsque nous saurons au juste comment nous-mêmes, avec deux yeux, nous voyons les objets simples, il nous sera aisé de concevoir que les objets peuvent paroître simples à des insectes avec des milliers d’yeux. La nature, qui a voulu que leurs yeux ne fussent point mobiles, y a suppléé par le nombre et par la position. Malgré ces milliers d’yeux dont sont composées les orbites, la plupart des mouches ont encore trois autres yeux placés en triangle sur la tête, entre le crâne et le cou : ces trois yeux, qui sont aussi des cristallins, ne sont point à facettes ; ils sont lisses et paroissent comme des points. Ces différentes grosseurs des yeux dans le même insecte, jointes à la considération des différentes places accordées à chaque œil, conduisent à présumer avec quelque vraisemblance que la nature a favorisé les insectes d’yeux propres à voir les objets qui sont près d’eux, et d’autres pour voir les objets éloignés ; qu’elle les a pour ainsi dire pourvus de microscopes et de télescopes. Il faut observer que la plupart de ces yeux à facettes sont couverts de poil, que l’on peut soupçonner de produire l’effet des cils de nos yeux, c’est-à-dire de détourner une trop grande quantité de rayons de lumière qui ne serviroient qu’à embarrasser la vue. \\ \\ )],
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 \\ <BOOKMARK:v642>[[3-642|642]]<tab> Épier une mouche, ou le rat ennemi, \\ <BOOKMARK:v642>[[3-642|642]]<tab> Épier une mouche, ou le rat ennemi,
 \\ <BOOKMARK:v643>[[3-643|643]]<tab> Si funeste aux auteurs, dont la dent téméraire \\ <BOOKMARK:v643>[[3-643|643]]<tab> Si funeste aux auteurs, dont la dent téméraire
-\\ <BOOKMARK:v644>[[3-644|644]]<tab> Ronge indifféremment Dubartas[(<tab>Ronge indifféremment Dubartas. \\ \\ [[3-50-A|A]] Guillaume de Salluste Dubartas, auteur, inconnu aujourd’hui, de beaucoup de poésies et d’un grand poëme sur la création, intitulé //la Semaine//. Il a été non seulement poëte, mais négociateur et vaillant capitaine ; et aucun de ces titres ne l’a sauvé de l’oubli. \\ [[3-51-B|B]] Le passage suivant de //la Semaine//, dans lequel il dépeint le vol et le chant de l’alouette, lui paroissoit de l’harmonie imitative : \\ \\ <tab><tab>« La gentille alouette crie son tire lire, \\ <tab><tab>« Tire lire a liré, et tire tiran lire \\ <tab><tab>« Vers la voûte du ciel ; puis son vol vers ce lieu \\ <tab><tab>« Vire, et désire dire, adieu Dieu, adieu Dieu. \\ \\ )] ou Voltaire ;+\\ <BOOKMARK:v644>[[3-644|644]]<tab> Ronge indifféremment Dubartas[(<tab>Ronge indifféremment Dubartas. \\ \\ [[3-50-A|A]] Guillaume de Salluste Dubartas, auteur, inconnu aujourd’hui, de beaucoup de poésies et d’un grand poëme sur la création, intitulé //la Semaine//. Il a été non seulement poëte, mais négociateur et vaillant capitaine ; et aucun de ces titres ne l’a sauvé de l’oubli. \\ [[3-50-B|B]] Le passage suivant de //la Semaine//, dans lequel il dépeint le vol et le chant de l’alouette, lui paroissoit de l’harmonie imitative : \\ \\ <tab><tab>« La gentille alouette crie son tire lire, \\ <tab><tab>« Tire lire a liré, et tire tiran lire \\ <tab><tab>« Vers la voûte du ciel ; puis son vol vers ce lieu \\ <tab><tab>« Vire, et désire dire, adieu Dieu, adieu Dieu. \\ \\ )] ou Voltaire ;
 \\ <BOOKMARK:v645>[[3-645|645]]<tab> Ou telle que tu viens, minaudant avec art, \\ <BOOKMARK:v645>[[3-645|645]]<tab> Ou telle que tu viens, minaudant avec art,
 \\ <BOOKMARK:v646>[[3-646|646]]<tab> De mon sobre dîner solliciter ta part ; \\ <BOOKMARK:v646>[[3-646|646]]<tab> De mon sobre dîner solliciter ta part ;
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 \\ <tab><tab><tab><tab>FIN DU TROISIÈME CHANT. \\ <tab><tab><tab><tab>FIN DU TROISIÈME CHANT.
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-\\ <fs 180%> NOTES. \\ TROISIEME CHANT. </fs>+\\ 
 +\\ <BOOKMARK:Notes><fs 220%> NOTES. \\ TROISIEME CHANT. </fs>