avant1800

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avant1800 [2023/03/10 14:40] – Espaces insécables : pour les numéros (signe degré) Timothée Léchotavant1800 [2023/03/13 19:18] (Version actuelle) – modification externe 127.0.0.1
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-Nous avons parlé de quelques négligences dans l'Homme des champs. On se demande comment M. l'abbé de Lille, qui fait de si beaux vers, peut en faire de si mauvais. [Mais] personne ne se juge mieux à cet égard que M. l'abbé de Lille. On a remarqué qu'il ne lui est jamais arrivé de lire en société un seul de ses mauvais vers. il serait possible d'annoncer au public une très-bonne critique de M. l'abbé de Lille par lui-même. On n'auroit qu'à faire une édition de ses œuvres, où seroient distingués, par des guillemets, les vers qu'on entendu vingt fois, & ceux qu'il a toujours jugé prudent de taire. Donner généreusement les beaux vers au public, vendre chèrement les mauvais aux libraires(nbsp): on ne peut conduire avec plus d'esprit sa fortune & sa renommée [(François-Dominique de Reynaud, comte de Montlosier, "Sur M. l'abbé de Lille", //Courier de Londres//, t. 50, n°3, 10 juillet 1801, p.(nbsp)23 (nous ne consacrons pas de fiche à ce texte, non disponible en ligne, car le chant 3 n'y fait l'objet d'aucune allusion).)].+Nous avons parlé de quelques négligences dans l'Homme des champs. On se demande comment M. l'abbé de Lille, qui fait de si beaux vers, peut en faire de si mauvais. [Mais] personne ne se juge mieux à cet égard que M. l'abbé de Lille. On a remarqué qu'il ne lui est jamais arrivé de lire en société un seul de ses mauvais vers. il serait possible d'annoncer au public une très-bonne critique de M. l'abbé de Lille par lui-même. On n'auroit qu'à faire une édition de ses œuvres, où seroient distingués, par des guillemets, les vers qu'on entendu vingt fois, & ceux qu'il a toujours jugé prudent de taire. Donner généreusement les beaux vers au public, vendre chèrement les mauvais aux libraires(nbsp): on ne peut conduire avec plus d'esprit sa fortune & sa renommée [(François-Dominique de Reynaud, comte de Montlosier, "Sur M. l'abbé de Lille", //Courier de Londres//, t. 50, n°(nbsp)3, 10 juillet 1801, p.(nbsp)23 (nous ne consacrons pas de fiche à ce texte, non disponible en ligne, car le chant 3 n'y fait l'objet d'aucune allusion).)].
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