Comme l'Académie française, l'académie toulousaine des Jeux floraux consacre des nécrologies laudatrices à ses membres après leurs décès, tel cet “Éloge de M. P. L. Carré”, prononcé en 1826 par Bernard-Antoine Tajan1.
Peut-être parce qu'il insiste sur le fait que Carré fut formé par Delille, Tajan choisi de reproduire au seuil de son discours2 le paragraphe par lequel Carré avait lui-même débuté, cinq ans plus tôt, son "Éloge de M. l'abbé Reyniès de Rozières" – ce fragment contenant un hommage appuyé à L'Homme des champs (voir sur ce point la fiche du texte de Carré).
Vers concerné : chant 3, vers 312.
Auteur de la page — Hugues Marchal 2019/06/17 01:51