Comme son titre l'indique, ce texte, publié en 1852, est une relation de voyage dans la péninsule ibérique, ponctuée, à des fins “pittoresques”, de gravures et de fragments en vers.
Bégin emprunte au chant 3 de L'Homme des champs l'épigraphe d'un de ses premiers chapitres, correspondant au passage du pays basque vers le Sud1. Ces vers sur le relief trouvent aussi un écho dans une planche montrant, quelques pages plus loin, une diligence engagée sur un col.
Vers concernés : chant 3, vers 304-310.