Le journaliste commence par écarter toute référence à [[muellerderlandmann|la traduction antérieure par Müller]], qu'il ne mentionne pas. Il salue l'entreprise de publication du texte dans une collection classique, au motif que **Delille mérite d'être relu et qu'il a illustré un genre que les écrivains allemands négligent désormais**\ :
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Le journaliste commence par écarter toute référence à [[muellerderlandmann|la traduction antérieure par Müller]], qu'il ne mentionne pas. Il salue l'entreprise de publication du texte dans une collection classique, au motif que **Delille mérite d'être relu et qu'il a illustré un genre que les écrivains allemands négligent désormais**(nbsp):
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Puis l'auteur de l'article consacre plusieurs lignes au choix de conserver en allemand l'**alexandrin rimé**. Il glose les justifications de Döring, puis il ajoute que ce choix imposait de surcroît d'alterner rimes féminines et masculines. Mais il loue le résultat\ :
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Puis l'auteur de l'article consacre plusieurs lignes au choix de conserver en allemand l'**alexandrin rimé**. Il glose les justifications de Döring, puis il ajoute que ce choix imposait de surcroît d'alterner rimes féminines et masculines. Mais il loue le résultat(nbsp):
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L'analyse se termine sur un **exemple**, destiné à montrer cette réussite. Le journaliste choisit le passage sur la mer, dont il reproduit intégralement la version allemande, en se contentant – signe qu'il estimait probablement ce passage "connu" familier de ses lecteurs – d'en donner le premier hémistiche en français\ : "Wir wählen die bekannte, und in der Übertragung so schwierige Anrede an das Meer, im dritten Gesänge : //O mer, terrible mer// u. s. w.[("Nous choisissons l'adresse à la mer du troisième chant, si connue et si difficile à rendre\ : //O mer, terrible mer// etc." //Id//., p. 159.)]" C'est le seul extrait donné dans l'article.
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L'analyse se termine sur un **exemple**, destiné à montrer cette réussite. Le journaliste choisit le passage sur la mer, dont il reproduit intégralement la version allemande, en se contentant – signe qu'il estimait probablement ce passage "connu" familier de ses lecteurs – d'en donner le premier hémistiche en français(nbsp): "Wir wählen die bekannte, und in der Übertragung so schwierige Anrede an das Meer, im dritten Gesänge : //O mer, terrible mer// u. s. w.[("Nous choisissons l'adresse à la mer du troisième chant, si connue et si difficile à rendre(nbsp): //O mer, terrible mer// etc." //Id//., p. 159.)]" C'est le seul extrait donné dans l'article.
Vers concernés : [[chant3#v225|chant 3, vers 225]].
Vers concernés : [[chant3#v225|chant 3, vers 225]].