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compterendugoettingischeanzeigen [2019/03/25 15:55] – [Considérations d'ensemble] Hugues Marchalcompterendugoettingischeanzeigen [2023/03/13 19:18] (Version actuelle) – modification externe 127.0.0.1
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 La majeure partie du compte rendu porte sur le poème dans son entier, occasions de **réflexions générales et originales sur le succès du texte et sur sa relation au modèle didactique**. La majeure partie du compte rendu porte sur le poème dans son entier, occasions de **réflexions générales et originales sur le succès du texte et sur sa relation au modèle didactique**.
  
-Après avoir indiqué que l'ouvrage se trouvait chez [[decker|Decker]], l'auteur, comme nombre de critiques, commence par évoquer les tirages très élevés, puis il traite //L'Homme des champs// comme un **livre déjà bien connu du public allemand**. Aussi invite-t-il ses lecteurs à confronter par eux-mêmes ses jugements à leur propre appréciation du poème.+Après avoir indiqué que l'ouvrage se trouvait chez [[decker|Decker]], l'auteur, comme nombre de critiques, commence par évoquer les tirages très élevés, puis il traite //L'Homme des champs// comme un **livre déjà bien connu du public allemand**. Aussi invite-t-il ses lecteurs à confronter ses jugements à leur propre appréciation du poème.
    
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-Le jugement "impartial" proposé est d'abord extrêmement élogieux. Le critique exprime **la plus grande admiration pour les vers de Delille et pour le climat apaisé** qui règne dans le poème:+Le jugement "impartial" proposé est d'abord extrêmement élogieux. Le critique exprime **la plus grande admiration pour les vers de Delille et pour le climat apaisé** qui règne dans le poème(nbsp):
  
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-Le critique émet toutefois une **réserve cruciale**, liée au gendre didactique. Pour lui, **Delille inverse à tort les fonctions de ce type de poésies**: au lieu de présenter l'effort et les occupations ardues comme un plaisir, il peint le plaisir comme un effort et une véritable profession, sans parvenir à susciter l'intérêt des lecteurs pour un "homme des champs" qui n'est jamais qu'un épicurien avisé+Le critique émet toutefois une **réserve cruciale**, liée au gendre didactique. Pour lui, **Delille inverse à tort les fonctions de ce type de poésies**(nbsp): au lieu de présenter l'effort et les occupations ardues comme un plaisir, il peint le plaisir comme un effort et une véritable profession, sans parvenir à susciter l'intérêt des lecteurs pour un "homme des champs" qui n'est jamais qu'un épicurien avisé(nbsp)
  
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-Aber darf die Critik dem Verf. für die Schönheit seiner Sprache und seiner Manier Fehler nachsehen, die nichts Geringeres bedeuten, als einen ästhetischen Mißgriff in der Erfindung der ganzen Composition? Virgil's Georgica – nach dem Begriffe und Gefühl des Rec. noch immer das reinste Muster eines Lehrgedichts – sind eine dichterische Darstellung der vorzüglichsten Beschäftigungen des Landmannes. Die Französischen Georgica des Hrn. Delille haben zum Gegenstande die Freuden eines wohldenkenden und litterarisch cultivirten Gutsbesitzers. Hr. D. erklärt sich selbst in der Vorrede über diese Verschiedenheit des Inhalts beider Gedichte. Aber ist denn in dieser Entgegenstellung der Beschäftigung und der Freuden des Landlebens ein didaktisch poetischer Sinn? Ein Lehrgedicht soll freylich keine Kunst oder Wissenschaft lehren; aber es soll doch für eine Kunst, oder Wissenschaft, oder eine nützliche Beschäftigung interessiren. ... In dieser Darstellung muß selbst die Beschäftigung als ein Vergnügen dichterisch täuschen. Dadurch eben unterscheidet sich das Lehrgedicht von allen übrigen Dichtungsarten. Es verwandelt den Unterricht und die Arbeit in liberalen Geistesgeiß, und lehrt uns auf die edelste und uneigennützigste Art mit Geschmack lieb gewinnen, was wir uns gewöhnlich nur als Sache der Noth, des Bedürfnisses oder der trockenen Speculation denken. So erscheinen die Arbeiten des Landmannes, ästhetisch gleichsam zu einer freyen Kunst erhoben, in dem Gedichte Virgil's. Aber alle diese, der didaktischen Poesie eigenthümliche, Schönheit fällt weg, und das Lehrgedicht im vorzüglichsten Sinne hebt sich selbst auf, so bald, man, wie Hr. Delille, die Aufgabe umkehrt, und das Vergnügen als eine Beschäftigung lehrt. Der //Homme des champs// des Hrn. D. ist freylich auch kein Müssiggänger. Er cultivirt, wie es in einem Verse ein Mahl sehr glücklich ausgedrückt ist, "a la fois son esprit et ses champs;” aber Beides nur, um mit Geschmack zu genießen. Geschmackvoller Genuß erscheint als sein Beruf; und, wie sich auch immer mit diesem Beruf die Moralphilosophie vertragen mag; das didaktisch ästhetische Interesse gehet darüber großen Theils verloren; denn es findet keinen Ruhepunct, weil der Mann, der methodisch und sinnreich nur überhaupt darauf ausgeht, seinen Genuß zu vervielfältigen (multiplier ses jouissances en multipliant ses sensations, drückt es der Verfaus), sich selbst für nichts in einen vorzüglichen Sinne, und eben deßwegen auch uns mit seinem raffinirten Epicureismus nicht sonderlich für sein eigenes Selbst interessirt. Ein solcher Mann ist aber der //Homme des champs// des Hrn. Delille[("Mais la critique doit-elle pardonner à l'auteur, au vu de la beauté de son langage et de ses manières, des erreurs qui n'impliquent rien de moins qu'une faute esthétique dans l'invention de l'ensemble de la composition ? Les Géorgiques de Virgile – que par réflexion comme par sentiment, le recenseur tient pour le plus pur modèle de poésie didactique – sont une représentation poétique des métiers les plus essentiels à l'homme de la campagne. Les Géorgiques françaises de M. Delille ont pour objet les joies d'un propriétaire terrien avisé et lettré. M. D. s'explique lui-même dans la préface sur cette différence dans le contenu des deux poèmes. Mais ce contraste entre l'occupation et les joies de la vie rurale fait-il sens dans un poème didactique ? Un poème didactique, certes, ne doit pas enseigner un art ou une science ; mais il doit tout de même susciter un intérêt pour un art, ou une science, ou pour quelque occupation utile..... Dans cette représentation, cette occupation même doit se faire passer, poétiquement, pour un plaisir. C'est en cela que le poème didactique diffère de tous les autres genres poétiques. Il transforme l'enseignement et le travail en un exercice intellectuel libéral, et nous enseigne de la manière la plus noble et la plus désintéressée à aimer avec goût ce à quoi nous ne pensons habituellement que par nécessité, besoin ou sèche spéculation. C'est ainsi que les activités de l'homme des champs apparaissent, élevées esthétiquement au rang d'art libre, dans les poèmes de Virgile. Mais toute cette beauté, propre à la poésie didactique, est perdue, et le poème didactique au sens le plus essentiel s'annule dès lors que, comme M. Delille, on renverse la tâche et qu'on enseigne le plaisir comme une occupation. Certes, //l'Homme des champs// de M. D. n'est pas un fainéant. Il cultive, comme il l'exprime très heureusement dans un de ses vers, "à la fois son esprit et ses champs" ; mais dans les deux cas, seulement pour jouir avec goût. La jouissance de bon goût semble sa profession, ainsi que la manière dont cette occupation peut être compatible avec la philosophie morale ; l'intérêt esthétique et didactique s'en détache en grande partie, parce qu'il n'y a là aucun point de repos, parce que l'homme qui met toute sa méthode et sa raison à ne multiplier que son plaisir (multiplier ses jouissances en multipliant ses sensations, dit l'auteur), ne s'intéresse lui-même, au sens essentiel du terme, à rien, et c'est justement à cause de cela qu'avec tout son épicurisme raffiné, nous ne prenons pas d'intérêt particulier à son propre être. Or un tel homme est bien //l'Homme des champs// de M. Delille." //Id//., p. 427-428.)]. +Aber darf die Critik dem Verf. für die Schönheit seiner Sprache und seiner Manier Fehler nachsehen, die nichts Geringeres bedeuten, als einen ästhetischen Mißgriff in der Erfindung der ganzen Composition? Virgil's Georgica – nach dem Begriffe und Gefühl des Rec. noch immer das reinste Muster eines Lehrgedichts – sind eine dichterische Darstellung der vorzüglichsten Beschäftigungen des Landmannes. Die Französischen Georgica des Hrn. Delille haben zum Gegenstande die Freuden eines wohldenkenden und litterarisch cultivirten Gutsbesitzers. Hr. D. erklärt sich selbst in der Vorrede über diese Verschiedenheit des Inhalts beider Gedichte. Aber ist denn in dieser Entgegenstellung der Beschäftigung und der Freuden des Landlebens ein didaktisch poetischer Sinn? Ein Lehrgedicht soll freylich keine Kunst oder Wissenschaft lehren; aber es soll doch für eine Kunst, oder Wissenschaft, oder eine nützliche Beschäftigung interessiren. ... In dieser Darstellung muß selbst die Beschäftigung als ein Vergnügen dichterisch täuschen. Dadurch eben unterscheidet sich das Lehrgedicht von allen übrigen Dichtungsarten. Es verwandelt den Unterricht und die Arbeit in liberalen Geistesgeiß, und lehrt uns auf die edelste und uneigennützigste Art mit Geschmack lieb gewinnen, was wir uns gewöhnlich nur als Sache der Noth, des Bedürfnisses oder der trockenen Speculation denken. So erscheinen die Arbeiten des Landmannes, ästhetisch gleichsam zu einer freyen Kunst erhoben, in dem Gedichte Virgil's. Aber alle diese, der didaktischen Poesie eigenthümliche, Schönheit fällt weg, und das Lehrgedicht im vorzüglichsten Sinne hebt sich selbst auf, so bald, man, wie Hr. Delille, die Aufgabe umkehrt, und das Vergnügen als eine Beschäftigung lehrt. Der //Homme des champs// des Hrn. D. ist freylich auch kein Müssiggänger. Er cultivirt, wie es in einem Verse ein Mahl sehr glücklich ausgedrückt ist, "a la fois son esprit et ses champs;” aber Beides nur, um mit Geschmack zu genießen. Geschmackvoller Genuß erscheint als sein Beruf; und, wie sich auch immer mit diesem Beruf die Moralphilosophie vertragen mag; das didaktisch ästhetische Interesse gehet darüber großen Theils verloren; denn es findet keinen Ruhepunct, weil der Mann, der methodisch und sinnreich nur überhaupt darauf ausgeht, seinen Genuß zu vervielfältigen (multiplier ses jouissances en multipliant ses sensations, drückt es der Verfaus), sich selbst für nichts in einen vorzüglichen Sinne, und eben deßwegen auch uns mit seinem raffinirten Epicureismus nicht sonderlich für sein eigenes Selbst interessirt. Ein solcher Mann ist aber der //Homme des champs// des Hrn. Delille[("Mais la critique doit-elle pardonner à l'auteur, au vu de la beauté de son langage et de ses manières, des erreurs qui n'impliquent rien de moins qu'une faute esthétique dans l'invention de l'ensemble de la composition ? Les Géorgiques de Virgile – que par réflexion comme par sentiment, le recenseur tient pour le plus pur modèle de poésie didactique – sont une représentation poétique des métiers les plus essentiels à l'homme de la campagne. Les Géorgiques françaises de M. Delille ont pour objet les joies d'un propriétaire terrien avisé et lettré. M. D. s'explique lui-même dans la préface sur cette différence dans le contenu des deux poèmes. Mais ce contraste entre l'occupation et les joies de la vie rurale fait-il sens dans un poème didactique ? Un poème didactique, certes, ne doit pas enseigner un art ou une science ; mais il doit tout de même susciter un intérêt pour un art, ou une science, ou pour quelque occupation utile..... Dans cette représentation, cette occupation même doit se faire passer, poétiquement, pour un plaisir. C'est en cela que le poème didactique diffère de tous les autres genres poétiques. Il transforme l'enseignement et le travail en un exercice intellectuel libéral, et nous enseigne de la manière la plus noble et la plus désintéressée à aimer avec goût ce à quoi nous ne pensons habituellement que par nécessité, besoin ou sèche spéculation. C'est ainsi que les activités de l'homme des champs apparaissent, élevées esthétiquement au rang d'art libre, dans les poèmes de Virgile. Mais toute cette beauté, propre à la poésie didactique, est perdue, et le poème didactique au sens le plus essentiel s'annule dès lors que, comme M. Delille, on renverse la tâche et qu'on enseigne le plaisir comme une occupation. Certes, //l'Homme des champs// de M. D. n'est pas un fainéant. Il cultive, comme il l'exprime très heureusement dans un de ses vers, "à la fois son esprit et ses champs" ; mais dans les deux cas, seulement pour jouir avec goût. La jouissance de bon goût semble sa profession, ainsi que la manière dont cette occupation peut être compatible avec la philosophie morale ; l'intérêt esthétique et didactique s'en détache en grande partie, parce qu'il n'y a là aucun point de repos, parce que l'homme qui met toute sa méthode et sa raison à ne multiplier que son plaisir (multiplier ses jouissances en multipliant ses sensations, dit l'auteur), ne s'intéresse lui-même, au sens essentiel du terme, à rien, et c'est justement à cause de cela qu'avec tout son épicurisme raffiné, nous ne prenons pas d'intérêt particulier à son propre être. Or un tel homme est bien //l'Homme des champs// de M. Delille." //Id//., p. 427-428.)]. 
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 ===== Remarques sur le chant 3 ===== ===== Remarques sur le chant 3 =====
  
-Dans la suite du texte, le critique offre un résumé des différentes sections du poème. Dans les lignes qu'il consacre du chant 3, il ne revient pas sur l'idée que le poème ne tente pas réellement d'intéresser à la science. Après avoir salué l'épisode sur le fleuve présent dans le chant 2 comme un hommage réussi à Virgile, il reprend les formules de Delille relatives à la nouveauté thématique du chant 3, mais il **ironise sur le lien étroit que le poète tente d'établir entre les sciences naturelles et le site rural précis où son personnage est censé se tenir**:+Dans la suite du texte, le critique offre un résumé des différentes sections du poème. Dans les lignes qu'il consacre du chant 3, il ne revient pas sur l'idée que le poème ne tente pas réellement d'intéresser à la science. Après avoir salué l'épisode sur le fleuve présent dans le chant 2 comme un hommage réussi à Virgile, il reprend les formules de Delille relatives à la nouveauté thématique du chant 3, mais il **ironise sur le lien étroit que le poète tente d'établir entre les sciences naturelles et le site rural précis où son personnage est censé se tenir**(nbsp):
  
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-[…] in dem dritten Gesange erscheint der Homme des champs wieder mit bloßer Liebhaberey beschäftigt. Er studirt die Natur, vorzüglich in geologischer Hinsicht. Er sammelt ein Naturalien-Cabinet, u.s. w. Gegen diese Unterhaltung wird Niemand Etwas einzuwenden haben. Der Verf. meint, der Gegenstand dieses Gesanges sey "le plus fécond de tous." Ja, er setzt hinzu: Jamais une carriere et plus vaste et plus neuve ne fut ouverte à la poesie. Schon gut. Die poetisch geologischen Beschreibungen des Verf. machen seinem Beschreibungstalent Ehre. Aber kann denn der //Homme des champs// sein Naturalien-Cabinet nicht eben so gut in der Stadt anlegen? Oder soll er seine naturhistorischen und geologischen Kenntnisse auf die Gegend um sein Landgut einschränken[("Dans le troisième chant l'Homme des champs semble s'occuper à nouveau d'une passion d'amateur. Il étudie la nature, surtout d'un point de vue géologique. Il rassemble un cabinet d'histoire naturelle, etc. Personne ne trouvera à redire à cette activité. Selon l'auteur, l'objet de ce chant est "le plus fécond de tous." Oui, il ajoute: Jamais une carriere et plus vaste et plus neuve ne fut ouverte à la poesie. Très bien. Les descriptions géologico-poétiques de l'auteur font honneur à son talent descriptif. Mais //l'Homme des champs// ne peut-il alors aussi bien installer son cabinet d'histoire naturelle à la ville? Et doit-il limiter ses connaissances de géologue et de naturaliste à ce qui entoure sa propriété de campagne?" //Id//., p. 429-430 (le texte cite la préface du poème).)] ? +[…] in dem dritten Gesange erscheint der //Homme des champs// wieder mit bloßer Liebhaberey beschäftigt. Er studirt die Natur, vorzüglich in geologischer Hinsicht. Er sammelt ein Naturalien-Cabinet, u.s. w. Gegen diese Unterhaltung wird Niemand Etwas einzuwenden haben. Der Verf. meint, der Gegenstand dieses Gesanges sey "le plus fécond de tous." Ja, er setzt hinzu: Jamais une carriere et plus vaste et plus neuve ne fut ouverte à la poesie. Schon gut. Die poetisch geologischen Beschreibungen des Verf. machen seinem Beschreibungstalent Ehre. Aber kann denn der //Homme des champs// sein Naturalien-Cabinet nicht eben so gut in der Stadt anlegen? Oder soll er seine naturhistorischen und geologischen Kenntnisse auf die Gegend um sein Landgut einschränken[("Dans le troisième chant //l'Homme des champs// semble s'occuper à nouveau d'une passion d'amateur. Il étudie la nature, surtout d'un point de vue géologique. Il rassemble un cabinet d'histoire naturelle, etc. Personne ne trouvera à redire à cette activité. Selon l'auteur, l'objet de ce chant est "le plus fécond de tous." Oui, il ajoute(nbsp): Jamais une carriere et plus vaste et plus neuve ne fut ouverte à la poesie. Très bien. Les descriptions géologico-poétiques de l'auteur font honneur à son talent descriptif. Mais //l'Homme des champs// ne peut-il alors aussi bien installer son cabinet d'histoire naturelle à la ville(nbsp)? Et doit-il limiter ses connaissances de géologue et de naturaliste à ce qui entoure sa propriété de campagne(nbsp)?" //Id//., p. 429-430 (le texte cite la préface du poème).)] ? 
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