Le célèbre poète, traducteur et éditeur Christoph Martin Wieland poursuit, avec le mensuel //Neuer Teutscher Merkur// (1790-1810), son projet d'offrir un **espace de discussion et de promotion littéraires en Allemagne**, tel qu'il avait entamé auparavant avec le //Teutscher Merkur// (1773-1789). Cette publication s'inspire du [[mercuredefrance|Mercure de France]], mais s'inscrit dans un contexte politique et social différent\ : si, en France, un pouvoir à la fois politique et culturel se concentre à Paris, l'Allemagne est fragmentée en nombreux États.
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Le célèbre poète, traducteur et éditeur Christoph Martin Wieland poursuit, avec le mensuel //Neuer Teutscher Merkur// (1790-1810), son projet d'offrir un **espace de discussion et de promotion littéraires en Allemagne**, tel qu'il avait entamé auparavant avec le //Teutscher Merkur// (1773-1789). Cette publication s'inspire du [[mercuredefrance|Mercure de France]], mais s'inscrit dans un contexte politique et social différent(nbsp): si, en France, un pouvoir à la fois politique et culturel se concentre à Paris, l'Allemagne est fragmentée en nombreux États.
===== Mentions du poème =====
===== Mentions du poème =====
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* Böttiger,[[böttigerneuerteutschermerkur|"Ueber den Abbé Delille und die Prachtausgabe seiner Georgika in Basel"]], juillet 1797.
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* Böttiger, [[boettigerneuerteutschermerkur|"Ueber den Abbé Delille und die Prachtausgabe seiner Georgika in Basel"]], juillet 1797.