| L'[[pecheur|abbé Pécheur]] a lu en 1872 cette **étude biographique** sur Joseph-Denis Manesse (1743-1820), lors d'une séance de la Société archéologique, historique et scientifique de Soissons. Elle est publiée en 1875 dans le [[bulletinsoissons|Bulletin]] de la société savante[(Louis-Victor Pécheur, "Notice historique sur l'abbé Manesse", //Bulletin de la Société archéologique, historique et scientifique de Soissons//, 2e série, t.\ IV, 1875, p.\ 165-192.)], soit 24 ans après la [[archiveshistoriquesdinaux|notice que Dinaux avait déjà consacrée]] à cet ornithologue et spécialiste de taxidermie, en signalant qu'il était mentionné dans //L'Homme des champs//. Bien que Pécheur ne cite pas Dinaux parmi ses sources, les parentés entre les deux extraits sont évidentes. | L'[[pecheur|abbé Pécheur]] a lu en 1872 cette **étude biographique** sur Joseph-Denis Manesse (1743-1820), lors d'une séance de la Société archéologique, historique et scientifique de Soissons. Elle est publiée en 1875 dans le [[bulletinsoissons|Bulletin]] de la société savante[(Louis-Victor Pécheur, "Notice historique sur l'abbé Manesse", //Bulletin de la Société archéologique, historique et scientifique de Soissons//, 2e série, t.\ IV, 1875, p.\ 165-192. La notice fut imprimée un an plus tôt, sous forme de plaquette autonome, à Soissons.)], soit 24 ans après la [[archiveshistoriquesdinaux|notice que Dinaux avait déjà consacrée]] à cet ornithologue et spécialiste de taxidermie, en signalant qu'il était mentionné dans //L'Homme des champs//. Bien que Pécheur ne cite pas Dinaux parmi ses sources, les parentés entre les deux extraits sont évidentes. |
| Comme Dinaux, mais de manière plus explicite, Pécheur affirme en effet que **les vers de Delille conduisirent Manesse à renforcer sa technique**, pour mieux répondre à l'éloge du poète, alors que seule la note de l'édition de 1800 les associe à son nom. | Comme Dinaux, mais de manière plus explicite, Pécheur affirme en effet que **les vers de Delille conduisirent Manesse à renforcer sa technique** pour mieux répondre à l'éloge du poète. Pourtant le traité de Manesse date de 1787 et seule la note de l'édition de 1800 associe les vers sur les oiseaux empaillés à son nom. |