//L'Homme des champs// est mis à contribution **dès l'ouverture du poème**, "O fertile Provence\ ! ô plaines fortunées[(Jacquin, //Le Voyage du poëte à Lyon(nbsp): poème élégiaque//, Metz, impr. de Dembour et Gangel, 1841, p.\ 1.)] \ !", car ces exclamations calquent un vers du chant 2 du texte de Delille, où ce dernier avait chanté les grâces d'un domaine justement situé dans cette région, "O riant Gemenos ! ô vallon fortuné[(//L'Homme des champs//, 2:407.)]". Jacquin poursuit cet //incipit// en s'appropriant plusieurs alexandrins issus du même passage, puis, un peu plus loin, il se tourne vers le chant 3 pour peindre la source du Rhône. C'est alors la section où Delille propose à ses lecteurs de remonter vers "le berceau des eaux" qui lui fournit son matériau. Nous soulignons ses emprunts par des italiques (nbsp): | //L'Homme des champs// est mis à contribution **dès l'ouverture du poème**, "O fertile Provence\ ! ô plaines fortunées[(Jacquin, //Le Voyage du poëte à Lyon(nbsp): poème élégiaque//, Metz, impr. de Dembour et Gangel, 1841, p.(nbsp)1.)] \ !", car ces exclamations calquent un vers du chant 2 du texte de Delille, où ce dernier avait chanté les grâces d'un domaine justement situé dans cette région, "O riant Gemenos ! ô vallon fortuné[(//L'Homme des champs//, 2:407.)]". Jacquin poursuit cet //incipit// en s'appropriant plusieurs alexandrins issus du même passage, puis, un peu plus loin, il se tourne vers le chant 3 pour peindre la source du Rhône. C'est alors la section où Delille propose à ses lecteurs de remonter vers "le berceau des eaux" qui lui fournit son matériau. Nous soulignons ses emprunts par des italiques (nbsp): |