Différences
Ci-dessous, les différences entre deux révisions de la page.
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illustrations [2017/12/09 09:51] – Sophie Christe | illustrations [2017/12/09 10:02] – [4. Exemple de réception iconographique négative: la caricature] Sophie Christe | ||
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Lorsque paraît l’//Homme des champs//, la disposition ainsi que le nombre des illustrations au sein du livre dépendent encore énormément du format et du prix du support. D’où un très grand nombre d’éditions différentes, | Lorsque paraît l’//Homme des champs//, la disposition ainsi que le nombre des illustrations au sein du livre dépendent encore énormément du format et du prix du support. D’où un très grand nombre d’éditions différentes, | ||
+ | + rôle que les images jouent dans la réception de l' | ||
+ | - édition illustrées: | ||
+ | - images affiliées: appropriation botanique et touristique | ||
===== 1. Les éditions illustrées de l' | ===== 1. Les éditions illustrées de l' | ||
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Delille y est dépeint comme un aristocrate tournant le dos à la réalité, se protégeant du soleil au moyen d'une ridicule ombrelle et observant le monde à travers la perspective déformée et réduite d’une lunette. Cette caricature résume le portrait que brosse Chaussard de Delille: celui d’un partisan de l’imaginaire et du mauvais goût qui se tient à distance de son sujet. Les vers qui accompagnent l’image, tirés du premier chant de l’Homme des champs, se retournent contre leur auteur en apportant une preuve coupable de cette observation retenue: « Majestueux Eté pardonne a mon silence! / J’admire ton éclat mais crains ta violence ». Le chant 3 est incarné par la chatte Raton. La présence du félin rappelle la dédicace incongrue que Delille adresse à sa fidèle compagne en fin de chant. | Delille y est dépeint comme un aristocrate tournant le dos à la réalité, se protégeant du soleil au moyen d'une ridicule ombrelle et observant le monde à travers la perspective déformée et réduite d’une lunette. Cette caricature résume le portrait que brosse Chaussard de Delille: celui d’un partisan de l’imaginaire et du mauvais goût qui se tient à distance de son sujet. Les vers qui accompagnent l’image, tirés du premier chant de l’Homme des champs, se retournent contre leur auteur en apportant une preuve coupable de cette observation retenue: « Majestueux Eté pardonne a mon silence! / J’admire ton éclat mais crains ta violence ». Le chant 3 est incarné par la chatte Raton. La présence du félin rappelle la dédicace incongrue que Delille adresse à sa fidèle compagne en fin de chant. | ||
+ | + Delille ressemble aux portraits qu'on fait de lui à l' | ||
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+ | *Conclusion* | ||
===== Œuvres visuelles concernées ===== | ===== Œuvres visuelles concernées ===== | ||