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delilletroisregnes [2017/02/26 21:51] – [Citation 1] Hugues Marchaldelilletroisregnes [2019/05/31 20:41] – [Présentation de l'œuvre] Hugues Marchal
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 ===== Présentation de l'œuvre ===== ===== Présentation de l'œuvre =====
  
-Dernier grand "poème scientifique" de Delille, //Les Trois règnes de la nature// (1808) entretiennent des liens étroits avec le troisième chant de //L’Homme des champs//+Dernier grand "poème scientifique" de Delille, //Les Trois règnes de la nature// (1808) entretient des liens étroits avec le troisième chant de //L’Homme des champs//
  
   * La proximité est d’abord **générique** et **thématique**, car le volume de 1808 constitue une sorte de développement de cette seule section du texte de 1800, elle-même consacrée aux connaissances scientifiques. //Les Trois règnes// abordent en effet de multiples disciplines\ : géologie, astronomie, botanique, zoologie, chimie, physique, optique, etc., et chacun de leurs huit chants est suivi de notes dues à l’auteur, mais surtout à trois savants contemporains (le naturaliste et paléontologue Georges Cuvier et le chimiste Louis Lefèvre-Gineau, tous deux membres, comme Delille, du Collège de France, et le physicien Antoine Libes, professeur d’université), trio de commentateurs occupant dès lors la même fonction que celle assumée par Jean Hermann dans //L’Homme des champs//.   * La proximité est d’abord **générique** et **thématique**, car le volume de 1808 constitue une sorte de développement de cette seule section du texte de 1800, elle-même consacrée aux connaissances scientifiques. //Les Trois règnes// abordent en effet de multiples disciplines\ : géologie, astronomie, botanique, zoologie, chimie, physique, optique, etc., et chacun de leurs huit chants est suivi de notes dues à l’auteur, mais surtout à trois savants contemporains (le naturaliste et paléontologue Georges Cuvier et le chimiste Louis Lefèvre-Gineau, tous deux membres, comme Delille, du Collège de France, et le physicien Antoine Libes, professeur d’université), trio de commentateurs occupant dès lors la même fonction que celle assumée par Jean Hermann dans //L’Homme des champs//.