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compterenduspectateurdunord [2023/03/10 14:20] – Espaces insécables : remplacer la syntaxe "\ :" qui ne fonctionne plus par "(nbsp)". Timothée Léchotcompterenduspectateurdunord [2023/03/10 14:24] – Espaces insécables : pour les pages Timothée Léchot
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 ===== Présentation du texte ===== ===== Présentation du texte =====
  
-[[spectateurdunord|Le Spectateur du Nord]] rend très vite compte de la parution de //L'Homme des champs//, objet d'une recension **anonyme** étalée en deux livraisons, en août[(Anonyme, "L'Homme des champs, ou les géorgiques françaises…", //Le Spectateur du Nord//, vol. XV, août 1800, p.256-278.)] puis en septembre 1800[(//Id//., septembre 1800, p.412-421.)].+[[spectateurdunord|Le Spectateur du Nord]] rend très vite compte de la parution de //L'Homme des champs//, objet d'une recension **anonyme** étalée en deux livraisons, en août[(Anonyme, "L'Homme des champs, ou les géorgiques françaises…", //Le Spectateur du Nord//, vol. XV, août 1800, p.(nbsp)256-278.)] puis en septembre 1800[(//Id//., septembre 1800, p.(nbsp)412-421.)].
  
 Sans surprise, au vu des liens d'amitiés que les rédacteurs du journal avait tissés avec Delille lors de son passage à Hambourg en juin 1799, l'avis est **très enthousiaste** (on peut penser que Baudus ou Villiers ont eux-mêmes assuré la recension). Le texte commence par passer en revue les quatre chants, pour n'y signaler, avec force citations, que des réussites, tant pour la forme que pour les idées abordées, mais en motivant ces jugements. Puis la préface est examinée, et tout en reconnaissant la possibilité de trouver dans l'ouvrage des faiblesses, le critique juge inutile et ridicule de les exposer. Aucune mention n'est faite des éléments politiques disséminés dans le texte. Sans surprise, au vu des liens d'amitiés que les rédacteurs du journal avait tissés avec Delille lors de son passage à Hambourg en juin 1799, l'avis est **très enthousiaste** (on peut penser que Baudus ou Villiers ont eux-mêmes assuré la recension). Le texte commence par passer en revue les quatre chants, pour n'y signaler, avec force citations, que des réussites, tant pour la forme que pour les idées abordées, mais en motivant ces jugements. Puis la préface est examinée, et tout en reconnaissant la possibilité de trouver dans l'ouvrage des faiblesses, le critique juge inutile et ridicule de les exposer. Aucune mention n'est faite des éléments politiques disséminés dans le texte.