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En 1801, les [[receptionallemagne|lecteurs allemands]] de la [[neuebibliothekwissenschaftenkuenste|Neue Bibliothek der schönen Wissenschaften und der freyen Künste]] prennent connaissance d'un **compte rendu virulent** de //L'Homme des champs//[(Anonyme, "L'Homme des Champs ou les Géorgiques françaises. Par Jacques Delille, à Basle, chez Iacques Decker. De L 'Inprimerie [sic] de Levrault, à Strasbourg. 1800.", in Christian Felix Weisse (éd.), //Neue Bibliothek der schönen Wissenschaften und der freyen Künste//, vol. 64, Leipzig, Dyck, 1801.)]. L'auteur inconnu - peut-être l'éditeur [[weisse|Weisse]] lui-même ? - dénonce avant tout un **manque de cohérence et d'unité**. À cela s'ajoute une vanité présumée de Delille, qui semble être trop manifeste pour le critique. Toutefois, si ce dernier découvre des lacunes dans les chants 1, 2 et 4, il concède la présence de **passages réussis dans le chant 3**. | En 1801, les [[receptionallemagne|lecteurs allemands]] de la [[neuebibliothekwissenschaftenkuenste|Neue Bibliothek der schönen Wissenschaften und der freyen Künste]] prennent connaissance d'un **compte rendu virulent** de //L'Homme des champs//, non signé[(Anonyme, "L'Homme des Champs ou les Géorgiques françaises. Par Jacques Delille, à Basle, chez Iacques Decker. De L'Inprimerie [sic] de Levrault, à Strasbourg. 1800.", in Christian Felix Weisse (éd.), //Neue Bibliothek der schönen Wissenschaften und der freyen Künste//, vol. 64, Leipzig, Dyck, 1801.)]. L'auteur dénonce avant tout un **manque de cohérence et d'unité**. À cela s'ajoute une vanité présumée de Delille, qui semble être trop manifeste pour le critique. Toutefois, si ce dernier découvre des lacunes dans les chants 1, 2 et 4, il concède la présence de **passages réussis dans le chant 3**. |